Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Histoire 2.

3 octobre 2005

Lucy , ne pouvant plus dormir vers 4h du matin,

bois2 Lucy , ne pouvant plus dormir vers 4h du matin, se reveilla. Elle vit Françoise qui préparait les tartes au pomme. Voulant prendre l'air un peu,  elle se faufila vers la porte arrière. Elle passa la barrière et alla se promener dans le sentier du bois. Il ne pleuvait plus alors elle en profitait. Malgré la terre très humide, elle se promenait fièrement dans cet endroit magestueux.
Si silencieux, on aurait pu y entendre les sigales en plein été. Mais tout à coup, elle entendit une flèche siffler à son oreil. Son capuchon était maintenant cloué à un arbre. Elle tenta de se déprendre mais elle entendit une voix;
-Mais que faîtes vous ici lucy?
-Et vous qu'es-ce qui vous prend de vouloir me tuer comme ça Filou!
Il lui enleva la flèche et répliqua: " Je veux pas vous tuer, je croyait juste que vous étiez un brigant. Il essaie de voler nos prise ces temps ci."
Elle le regarda un instant pendant qu'il parlait de ces brigant et qu'il ne fallait traîner dans la forêt lorsqu'il ne faisait pas jour. Elle l'arrêta une instant et lui posa une question dont il fut surpris
-Quel est votre Prénom?!
- QUOI?!
-Votre prénom? tout le monde en a un!
-Je ne sais pas... Je ne l'ai jamais dit
-Et pourquoi donc?
-Je n'en ai aucune idée..
- alors pourquoi pas me le dire à moi?
-Pourquoi à vous? et puis ce n'est pas le temps...rentrez, cest dangereux encore!


Elle se dirigea vers la maison  et puis alla aider la cuisinière pour faire les tartes.



Publicité
Publicité
2 octobre 2005

2

Elle se reveilla au son de la voix de madame Pomerlot:
Allez! reveille petite! Il est déjà 7h30! Vas te laver le visage un peut et place tes cheveux vite fait et viens déjeuner.
Elle se leva du lit, défroissa sa jupe et son chemisier. Alla se laver le visage et laissa ses ainsi puisqu'il était trop court pour  faire quoi que se sois avec.  Elle descendit à la cuisine. Une hodeur de pain chaud lui montait fraichement au nez.
Le monde était déjà attablé.  Des muffins et des brioches hornait la table. Madame Pomerlot sortait un dernier pain du four.  Il ne restait plus aucune chaise de libre pour manger.  Madame pomerlot lui donna un caberet et lui dit d'aller manger le tout dans la chambre.  Le cabaret contenait une orange, un gros morceau de pain, des confitures, une brioche et un bol de gruau. Elle n'en revenait pas tellement son plateau était rempli mais, elle avait tellement faim qu'elle se dépêcha de monter pour aller manger dans la chambre. Dès qu'elle fut rassasié, elle redescendit pour allez aider madame pomerlot à la cusine.

-Es-ce qu je peux  vous aider madame pomerlot?
-Oh, ne m'appelle pas madame, appelle moi Françoise, et puis oui tu peux m'aider, essuie la vaisselle la-bas.
- Et bien si on se nomme par les prénom, moi c'est lucy.

À ce moment là un jeune homme entra dans la cuisine.

-Lucy! jolie prénom! Françoise, il reste quelque chose à manger?
-hum, tu es chanceux, il reste encore un peu de confiture et de pain, et tien voiçi une pomme. Mais qu'es qui te prend de sortir aussitôt?
- Je suis allé installer les pièges à lapin pour que tu nous fasses une bon festin ce soir!
-Ah , et si tu pouvais nous prendre quelque chose de gros avant l'hiver, se serais bien.
- parfait mes dames, à ce soir.

Lucy regarda françoise d'un air intérogati, celle -ci lui expliqua
"Lui c'est le garçon à tout faire, il est ici depuis qu'il a 7 ans, c'est tout comme le fils de monsieur Mc carter. Il fait presque tout dans la maison , jamais tu ne l'entendra se plaindre. si tu as besoin d'aide n'hésite pas. je ne me souvien jamais de son nom mais tout le monde l'appelle Filou."

Lucy passa sa journée avec Françoise. Elle appris à faire la lessive, à faire le ménage des pièces, et ce qu'elle avait aprécier le plus; faire le pain.

À la fin de la journée, elle alla s'asseoire dans la cour arrière.  Un vent frisquait souflait.
Filou jouait au hockey dans la ruelle avec des enfants. Elle posa un regard admiratif sur lui et puis rentra car il commencait a faire sombre.

Elle s'endormit cette nuit là avec un léger sentment d'appartenance.  Demain elle allait demander à monsieur Mc carter si elle pouvait réellement rester ici pour longtemps.

29 septembre 2005

Début

On est dans les années 1950 quelque par en amérique.  Il pleut comme on ne l'avait jamais vu cette année là. Une jeune fille traine par la , dans la boue, entre les ruelles. Les cheveux court,  elle cherche une endroit pour se couvrir. Elle voit au loin un restaurant ouvert 24h. Elle ramasse ses bagages et cour vers celui-ci. Dans le petit casse-croute , le propriétaire, un grand homme au cheveux blanc ,l'interpelle: Qu'es -ce qu'une jeune femme comme vous faîtes à l'extérieur à une heure pareil?
-Je viens d'europe.  Je  cherche du travail! Savez-vous ou je pourrais en trouver?
Le vieille homme la regarde. Il remarque bien que la jeune femme n'a pas une sous sur elle.  Voyons ses aillons, il lui dit d'aller voir sa femme; l'obergiste d'en arrière,celle-ci lui donnera une chambre et demain elle travaillera pour eux. Mais avant qu'elle sorte du casse- croute, le propriétaire l'interpelle une dernière fois:
-Mon nom cest george, tu demanderas Madame Mc carter, et vous mademoiselle? comment vous nommez vous?
-appellez-moi mlle Jhonson.Merci


Mlle jhonson marche dans les flaques jusqu'à l'oberge.Elle y frappe. Une grande femme un peu grasouillette y répond
-Qui est là?
-Je suis mlle Jhonson,  Monsieur George Mccarter m'a dit de venir ici car sa femme pourrait me donner un lit et un emploie.Suis-je à la bonne adresse?
- Oh oui oui ,entre petite, moi je suis la cuisinière, madame Pomerlot. Mais que fais tu à 3h du matin dans le rue comme ça?
-Je vien d'arriver d'europe, par bateau.
-Donne moi tes valises petites, tu dois être épuiser! je vais t'emmener à ma chambre tu pourras 'y repose jusqu'au déjeuner.

Mme Pomerlot lui montrat les lieux en quelques temps et l'emmena à sa chambre. Une chambre grande par rapport à celle qu'elle avait déjà vu. Un lit double trônait au milieu d'un mur. Une grande et unique fenêtre était décoré de jolie rideau rouge vin en velour. La cuisinière lui expliqua qu'elle était heureuse de pouvoir enfin partager sa chambre trop grande pour elle alors que les propriétaire ne voulais pas. Elle lui dit aussi que le déjeuner était à 7heure, sois dans 4heure. Mlle jhonson,épuisé, eu à peine le temps de se mettre dans des vêtements sec et s'endormie sur le grand lit et 3 secondes.

Publicité
Publicité
Publicité
Publicité